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Perdre du poids et retrouver la forme dans un monde moderne!

7 valeurs ancestrales pour réussir aujourd’hui

« En vérité, le chemin importe peu, la volonté d’arriver suffit à tout. » - Albert Camus

La vie n’est pas toujours une long fleuve tranquille.

Parfois, elle nous déstabilise. Nous fait perdre nos repères. Et l’on cherche dans quelle direction regarder pour pouvoir avancer à nouveau avec confiance.

A l’inverse, l’on peut être trop sur de soi et de ses choix. Et il faudrait peut-être mieux alors s’assurer que le chemin emprunté ne s’écarte pas trop de l’objectif initialement fixé.

Pour vous inspirer et peut-être vous aider à maintenir ce difficile équilibre entre vos actions et le sens que vous souhaitez leur donner, je partage aujourd’hui avec vous 7 valeurs inspirées du mode de vie ancestral et de mon expérience.

Pour une fois, cela n’a pas grand-chose à voir avec la nutrition. Sauf peut-être pour nourrir l’esprit, plutôt que le ventre.

Pensez d’abord à vous.

Cela peut sembler un peu égoïste à première vue.

L’on peut penser que le monde est déjà suffisamment individualiste, et que l’échange et le partage méritent au contraire plus d’attention.

Mais c’est en fait la plus importante leçon que j’ai pu apprendre jusqu’à présent.

Il ne s’agit pas de penser uniquement à soi. Mais de penser d’abord à soi!

Combien de personnes veulent aider les autres avant de s’aider soi-même ?

Ça peut être un médecin fatigué qui fume ou qui est en surpoids et qui vous donne pourtant des conseils de santé.

Une assistante sociale déprimée qui essaye d’aider des familles en difficultés alors que son propre couple est depuis trop longtemps dans une situation compliquée.

Un professeur sûr de lui qui enseigne à ses élèves alors que lui-même n’a pas ouvert un livre depuis des années pour mettre à jour ses connaissances.

Je préfère pour ma part éviter d’être « aidé » par ce genre de personnes.

Pour être crédible. Pour inspirer les autres. Pour les aider vraiment à progresser et à atteindre le meilleur d’eux même. Qu’il s’agisse de vos enfants. De vos employés. De vos clients ou de vos partenaires.

Vous pourrez leur donner le meilleur quand vous aurez d’abord pensé à investir en vous.

Ne cessez jamais d’apprendre. De vous perfectionner. De vous former sur les sujets qui vous intéressent. De prendre soin de votre santé et de votre physique. De toujours chercher à atteindre la meilleure version de vous-même. Puis de le partager.

C’est la meilleure façon de toujours progresser et d’être réellement utile pour les autres.

Pas de vie par procuration.

C’est peut-être l’un des changements les plus marquants de ces dernières décennies. Mais c’est loin d’être un grand progrès pour l’humanité.

Avec l’arrivée des médias sociaux. Et l’explosion de la télé-réalité.

L’on est de plus en plus souvent invité à observer la vie des autres.

A regarder ce que l’on nous donne à voir. A partager le bonheur fabriqué et artificiel du voisin plutôt que de profiter du sien.

En somme, cela nous renvoie toujours un peu plus à l’idée qu’en comparaison, notre vie est bien triste et monotone.

Et cela nous donne cette excuse que notre vie misérable ne vaut finalement pas la peine que l’on s’y investisse.

Et nous incite à vivre notre vie par procuration.

Comprenez-moi bien. Je ne dis pas qu’il est temps de retourner vivre dans une grotte et d’écraser votre télévision avec une massue.

Si vous voulez vivre le temps d’un film une romance passionnée et extraordinaire, rien ne vaudra peut-être une belle comédie romantique hollywoodienne.

Et si vous voulez rouler « pied au plancher » sur des routes étroites, sauter en parachute au milieu d’un champ de bataille où déjouer les complots des mafias de Hong Kong, rien ne vaut sans doute le dernier James Bond.

Mais pour le reste.

Pourquoi rester frustré devant les images de bonheur de ses voisins en vacances à la plage ?

Pourquoi regarder des heures avec envie ce que cuisine Paul dans Top Chef, ou comment Léa à décoré sa maison ou refait sa garde-robe.

Si vous voulez apprendre à cuisiner, à redécorer votre chambre, à perdre du poids ou à renforcer les liens avec votre conjoint. Faites-le!

C’est infiniment plus valorisant et utile que de le faire par procuration devant un écran.

Même si vous échouez. Même si vous devez recommencer 10 fois.

Si c’était facile, tout le monde le ferait.

J’écris souvent que le mode de vie ancestrale est simple. Manger des produits frais et naturels que l’on prépare soi-même. Éviter les sucres et céréales qui nous enferment dans le métabolisme des glucides et nous font grossir. Limiter la consommation des produits industriels qui nous rendent malades. Bien dormir. Éviter le stress. Profitez de ses proches, du soleil et de la nature. Simple, naturel, efficace!

Mais ce n’est pas parce que c’est simple et terriblement efficace que cela est facile à faire.

Sinon tout le monde le ferait. Et la plupart des gens seraient athlétiques, pleins d’énergies, et rendraient visite à leur médecin une fois par an pour prendre des nouvelles et faire un simple contrôle de routine.

Ce qui est facile en revanche, c’est de succomber aux plaisirs immédiats de la consommation. Aux tentations ininterrompues des médias. Ou aux promesses de facilité de telle ou telle pilule miracle ou méthode ultra moderne pour résoudre vos problèmes en deux coups de baguette magique.

L’important, ce n’est pas d’enchainer les choses désagréables et de se tuer à la tâche pour progresser. Personne ne peut tenir durablement dans cette voie sans finir par craquer.

L’important est de toujours accepter ses erreurs. D’être lucide avec ses forces et ses faiblesses. De se fixer des objectifs à la fois motivants et réalistes. De sans cesse se remettre en question et d’accepter cela comme principe pour toujours progresser.

Si c’était facile. Tout le monde le ferait.

Pas d’excuse pour les excuses

Les excuses ne servent à rien d’autre qu’à masquer nos faiblesses ou nos échecs.

Ce sont les bonbons qu’utilise l’égo pour masquer l’amertume de nos erreurs.

Face à un échec grand ou petit. Face à une faute ou une erreur. Qu’elle soit volontaire ou non.

Il est trop facile de se cacher derrière une excuse.

Certains mettent un peu de temps pour s’en inventer. D’autres le dégainent plus vite que leur ombre.

Mais dans tous les cas, ces excuses servies aux autres comme à soi-même nous empêchent le plus souvent d’avancer.

« J’ai raté la cuisson de mon poisson, mais c’est normal, le four était trop chaud. »

 » J’arrive en retard à ce rendez-vous, mais c’est normal, il y avait beaucoup de circulation. »

Tout ceci est sans doute vrai, mais n’excuse en rien le fait de n’avoir pas atteint le résultat souhaité.

Vouliez-vous vraiment une cuisson parfaite pour votre poisson ? Ou arriver à l’heure à ce rendez-vous ?

Si la réponse est oui, comment auriez-vous pu vous y prendre pour y arriver ?

Plutôt que de chercher des excuses, mieux vaut essayer de se poser ce genre de question face à ses échecs.

C’est une bien meilleure façon de progresser.

Toujours aller de l’avant

L’on peut avoir l’impression que la vie est plus souvent remplie d’échecs que de succès.

Mais c’est parce que les échecs laissent des cicatrices douloureuses.

Alors que les succès sont vite oubliés.

C’est comme ça!

Cela me semble faire profondément partie de la nature humaine.

C’est sans doute un mécanisme hérité du fond des âges pour nous permettre de ne pas nous faire avoir deux fois par le même piège.

Ni de nous reposer trop longtemps sur nos lauriers.

Pour toujours remettre sur le métier son ouvrage.

Tomber la tête dans le ruisseau ? On se relève et on va de l’avant.

Échouer dans un projet ? On change ce qu’il faut avant de repartir de l’avant.

Se disputer avec un proche ? On s’explique puis on va de l’avant.

Aller de l’avant. Cela fonctionne dans toutes les situations.

Resté bloqué dans un échec et le plus sur moyen d’échouer dans toutes les autres actions à venir. De renforcer son statut de victime, puis de s’y enfermer.

Le passé est le passé. A jamais inaccessible.

Le futur reste à écrire.

Seul existe le présent, qu’il faut remplir d’écoute, d’attention, et de cette volonté d’aller de l’avant.

Garder une poire pour la soif.

Cette belle expression de notre langue peut être répétée comme un mantra à chaque instant de notre vie.

Dans les deux sens que peut avoir cette expression.

D’un côté, elle nous invite à toujours garder de quoi faire face à l’imprévu.

De ne jamais tout parier sur le même cheval. Et de garder des économies pour les moments difficiles.

Seul sur un chemin de montagne, avant de boire toute votre eau, vous vérifiez qu’il vous restera toujours au moins une poire pour étancher votre soif.

L’on peut aussi voir cela comme une invitation à ne pas se donner en entier dans ses actions.

Que ce soit au sport. Au travail, dans vos relations. N’investissez jamais la totalité de vous-même et de votre énergie.

Inutile de tout donner et d’y aller à fond.

Cela peut faire du bien à votre égo. Vous donnez l’impression que vous avez atteint les 110%. Que vous êtes le meilleur.

Super! Bravo!

Mais à quoi bon si c’est pour se blesser. Pour s’épuiser. Ou pour ne pas pouvoir enchainer le prochain défi qui ne voudra pas attendre.

Gardez toujours un peu d’énergie en réserve. Et une poire pour la soif.

L’instant présent

Toutes les situations sont transitoires.

Les biens matériels que l’on accumule. Electronique, voiture, maison. Tout finira par disparaitre.

Nos pensées et nos émotions sont également transitoires. Les joies comme les peines nous traversent et ne s’accrochent parfois que par ce que l’on veut bien les retenir.

La douleur d’une blessure aussi finit toujours par passer.

De même que celle d’un deuil. Même si sur le moment cela peut nous sembler impossible.

Ou durer une éternité.

Pourtant, cela finira par passer.

Notre corps, notre jeunesse, évidemment ne durera pas toujours. Et ce qui fait notre force aujourd’hui finira aussi par passer.

Ces moments de bonheur que nous vivons avec nos proches ou nos amis. Profitons-en et vivons en chaque instant lorsqu’on les croise, car eux aussi finiront par passer.

Tout finalement, finit toujours par passer.

Du moins à notre échelle de modeste primate capable de nous tenir debout, et évoluant sur terre depuis maintenant près de 300 000 ans.

Que tout soit transitoire n’est pas un problème. Ce n’est ni bien ni mal. C’est une simple réalité qu’il faut apprendre à accepter.

Pour profiter de l’instant présent.

J’espère que ces quelques réflexions d’inspiration « ancestrale » vous ont plu. N’hésitez pas à m’en dire un peu plus dans les commentaires.

Prenez grand soin de vous,

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