Avant le cap des 40 ans, si l’on a une bonne constitution et un peu d’hygiène de vie, les choses sont simples !
L’on recherche avant tout un physique athlétique et l’on y arrive assez facilement un gardant de l’activité. En faisant un peu de sport.
On capitalise encore sur la lancée de ses beaux jours. Le métabolisme est plus rapide. On peut souvent tricher et manger n’importe quoi. En tous cas au début !
Passé le cap des 25 – 30 ans, on observe une petite tendance à la prise de poids. Année après année. Mais on se dit que ce n’est pas bien grave !
Il suffit d’un bon régime. Ou de se remettre à la salle de sport, pour régler le problème en 2 coups de cuillère à pot.
Et ça peut faire illusion un temps.
Mais rapidement, on doit se rendre à l’évidence. On prend du gras en même temps qu’un bon coup de vieux ! Et le chemin retour vers un corps en bonne santé, sain et athlétique, parait soudain très compliqué.
En général ce virage se fait entre 35 et 40 ans. On se dit que c’est foutu. Qu’il va falloir faire avec. Ou essayer de faire illusion.
Et comme les emmerdes volent en escadrilles, c’est en général, à ce moment-là que les médecins commencent à sonner l’alarme avec les problèmes de tension, de cholestérol ou de diabète.
Que l’esprit se fait plus lourd et confus. Que les articulations coincent.
Bref, la fête est finie !
Quand je me suis retrouvé au virage des 40 ans, en plus d’avoir 15 kilos en trop par rapport à mon poids idéal, j’avais une santé déplorable. Vertiges, hypertension, allergies à répétition et problèmes digestifs. Sans parler d’une peau sensible et pâle. J’avais en plus l’énergie d’un escargot en hibernation.
J’ai tout remis en question et passé des milliers d’heures à me documenter puis à essayer ce qui me semblait avoir du sens. Et les meilleures bases scientifiques. En allant à la source. Et en m’éloignant au maximum des salades que nous racontent les médias de masse et les gourous et leurs méthodes miraculeuses.
Et c’est au cours de ces années de recherches et de ces essais sur j’ai réalisé à quel point l’impact de ce que l’on mange est fondamental pour notre santé et notre physique. Et donc pour notre mental.
Loin devant le sport et l’activité physique. Loin devant la génétique. Pour l’avoir ensuite constaté avec les amis, des proches puis des clients qui ont essayé avec moi cette approche, l’alimentation compte à 80% dans l’équation santé.
Mais pour cela, il faut qu’elle soit optimale. Parfaitement calibrée pour notre corps.
Notre alimentation doit s’approcher le plus possible de ce que la nature a initialement prévu pour nous. De notre carburant d’origine.
Loin de toute la nourriture industrielle. Loin des champs de céréales et d’OGM. Loin des raffineries qui produisent l’huile, la farine et le sucre.
Alors oui, très clairement, il faut faire des choix.
Et l’on peut se résoudre après 40 ans à rester plus ou moins sur la pente glissante sur laquelle on se trouve. Et se dire chaque matin : jusque-là tout va bien.
Mais si l’on veut vraiment changer en profondeur, il faut accepter de faire des modifications en profondeur.
La bonne nouvelle avec cette approche basée à 80% sur l’alimentation, c’est qu’on y prend vite du plaisir.
Une fois que l’on connait les aliments à prioriser, on peut cuisiner et manger sans compter.
En s’inspirant de nos ancêtres chasseurs cueilleurs qui ne connaissaient pas les produits ‘low fat’ et la bedaine de la quarantaine. Il est possible de manger des aliments savoureux, sains, et riches en énergie. Œufs, viande, poissons, légumes, fruits, tubercules, noix et fruits secs, huiles vierges, et toute les préparations artisanales de qualité faites à partir de ces ingrédients de base.
C’est tout le paradoxe et la puissance de cette alimentation. Manger sain, riche, et se faire plaisir. Et en même temps, perdre du poids et retrouver des niveaux d’énergies que l’on avait oubliés depuis longtemps.
Simplement par ce que l’on revient aux sources. Que l’on mange ce que la nature a prévu pour nous au cours des centaines de milliers d’années de notre évolution. Et que l’on arrête de s’intoxiquer avec des aliments qui n’ont rien à faire dans notre assiette et notre corps. Des aliments trop récents auxquels notre génome n’a pas eu le temps de s’adapter.
Je suis en train de terminer mon programme pour permettre à ceux que cela intéresse de démarrer proprement ce type d’alimentation ancestrale. Sans faire d’erreur ni perdre de temps. Et de pouvoir juger par eux même des résultats.
Un programme qui vous remet sur les rails en 21 jours. Le temps nécessaire pour réactiver des gènes endormis par des années de nourriture inadaptée. Avec des résultats visibles et durables.
Un programme qui vous offre ensuite toutes les clefs pour poursuivre cette voie sur le long terme. Sans avoir envie de revenir en arrière. Tout en permettant des écarts de temps à autre.
Parce que je veux être clair avec vous. Je ne vous parle pas d’un régime. Des résultats durables passent par des changements durables.
Je vous parle d’un nouveau mode de vie. Inspiré de nos ancêtres. Mais parfaitement adapté à la vie moderne.
Je suis très excité à l’idée de pouvoir finaliser ce programme basé sur mon expérience, celle de mes proches et de es premiers clients. Et je veux pouvoir en faire profiter tous ceux qui en ont besoin. Ceux qui veulent sortir de la spirale infernale que l’on voir venir après 40 ans. Et ceux qui n’y sont pas encore, mais qui ne veulent pas y entrer.
En attendant que le programme soit disponible, vous pouvez en apprendre plus sur le guide que je vous offre ici. Et vous abonner si ce n’est pas déjà fait à ma newsletter quotidienne.
Pour continuer à en apprendre davantage sur les meilleures solutions qui s’offrent à vous pour retrouver la forme, la ligne et l’énergie. Simplement en mangeant ce que la nature a prévu pour nous.
