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Perdre du poids et retrouver la forme dans un monde moderne!

Comment devenir une machine … à bruler la graisse

La terre est la seule planète ou trouver du bon chocolat. Alors préservons la! - Anonyme

Il n’y a pas de secret pour perdre du poids rapidement.

Vous devez obliger votre corps à utiliser ses réserves de graisses en priorité.

Mais le problème que 99% des gens ignorent ?

C’est qu’ils ont des habitudes et des routines qui ruinent toute chance que cela arrive un jour.

Pire encore. Ils subissent un flot permanent de fausses informations.

Un flot continue qui nous explique qu’il faut faire du sport.

Qu’il faut manger moins gras.

Qu’il faut prendre des pilules ou des tisanes miracles censées booster notre métabolisme bruleur de graisse.

Fadaises et billevesées ! Faire du sport à beaucoup d’avantages et surveiller sa consommation de matières grasses aussi. Mais en ce qui concerne la perte de poids, l’important n’est pas là.

Voyons plutôt quels mécanismes l’évolution et la nature ont prévu pour que l’on utilise rapidement nos graisses.

Et ce que confirme la science.

Comme je l’expliquai dans un article récent sur la résistance à l’insuline, le problème est le suivant :

Notre alimentation moderne riche en sucre et en glucides sature en permanence notre corps en glucose qui est le maillon ultime de leur décomposition dans l’organisme.

Toutes nos cellules sont mobilisées entre chaque repas pour garder les taux de glucose dans le sang en dessous des niveaux toxiques et dangereux. Des quantités toujours croissantes d’insuline sont fabriquées pour éliminer les excès de glucose et les convertir en graisses.

Ces graisses qui iront repas après repas s’accumuler dans le ventre, les cuisses et les fesses. Là ou vous en avez peut-être marre de les voir.

En résumé, notre corps transforme les glucides en graisses pour se faire des réserves sur le long terme. Et il le fait très bien !

Dans la longue histoire de notre évolution, ce mécanisme nous à permis d’accumuler des réserves pendant les saisons fastes, le printemps et l’été, pour pouvoir les réutiliser dans les périodes de disette et de mauvais temps.

Mais aujourd’hui, la nourriture est abondante toute l’année. Et ce précieux mécanisme de stockage fonctionne à toute allure. Et toute l’année !

La clef, ce n’est pas de s’arrêter de manger. Ou de faire un régime. Cela ne marche pas. Ou de façon temporaire.

La nourriture et les tentations sont présent partout. Votre cerveau ne vous laissera jamais tranquille et vous craquez tôt ou tard.

La clef, c’est de savoir ceci : Votre corps ne peut pas en même temps gérer les excès de glucose d’une part et bruler ses réserves de graisses d’autre part. Un peu comme l’interrupteur d’une lampe. C’est soit éteint. Soit allumé. Mais ce ne peut pas être les deux en même temps.

Lorsque votre alimentation est riche en glucides, le corps est tout entier mobilisé pour éliminer le surplus et le convertir en graisse de réserves. Votre interrupteur est en position stockage.

Pour le passer en mode déstockage et commencer à bruler vos réserves de graisses ? Pour commencer à perdre du poids sans vous en rendre compte ?

Il faut diminuer votre consommation de glucides, et passer en dessous d’un certain seuil.

En faisant cela pendant quelques semaines, l’on va forcer notre corps à basculer en mode : utilisation des réserves de graisses. L’interrupteur va pouvoir passer en mode déstockage. Les kilos partent.

C’est de loin le moyen le plus simple et le plus efficace pour perdre du poids tout en gardant une alimentation variée et équilibrée.

Comment faire ?

Passer du mode stockage et accumulation des graisses en mode déstockage et retour au poids de forme demande de diminuer sa consommation de glucides pendant 2 à 4 semaines au moins, le temps que notre corps active les gènes et fabrique les enzymes nécessaires à l’utilisation de nos réserves.

Il faut lui permettre de réactiver les gènes qu’utilisaient nos ancêtres pendant les périodes de disette. Ces gènes qui chez nous sont en sommeil profond depuis longtemps. La plupart de ceux qui mangent des féculents à la base de chaque repas n’ont sans doute jamais utilisé ces gènes. Pourtant je vous assure qu’ils sont bien présents.

Ils n’ont simplement jamais eu l’occasion de s’exprimer. Car nous les saturons matin midi et soir de glucides qui mobilisent toutes l’attention de notre corps sur un autre processus : Eliminer les excès de glucose dans le sang et le stocker sous forme de graisses. Nous maintenons notre interrupteur bloqué en position stockage.

Pour passer en mode déstockage. Il suffit de mettre en place une nouvelle routine pendant quelques semaines. Réduire en dessous d’un certain niveau sa consommation de glucide. Mais continuer à se faire plaisir en mangeant à l’envie ses légumes, viandes, bonnes huiles et poissons préférées. Et tout un tas d’autres aliments naturels et sains.

On ne limite que ses apports en glucides.

Simple, efficace, et garantie par plus de 300 000 ans d’évolution.

Pour en savoir plus sur ces méthodes ancestrales, je vous offre mon guide pour retrouver la forme et perdre du poids.


Ce que dit la science:

J’ai sélectionné quelques études récentes tirées des meilleures revues scientifiques sur les effets comparés d’une alimentation faible en glucide ou pauvre en graisses. Les publications scientifiques de haut niveau sont généralement rédigées en anglais. Vous pouvez utiliser deepl.com ou n’importe quel autre traducteur en ligne pour vous aider à les traduire si nécessaire.

Dans tous les cas, les alimentations faibles en glucides donnent de meilleurs résultats sur la perte de poids et l’amélioration mes marqueurs sanguins (Cholestérol, triglycérides, glycémie).

  1. Samaha FF, et al. A low-carbohydrate as compared with a low-fat diet in severe obesity. New England Journal of Medicine, 2003.
  2. Sondike SB, et al. Effects of a low-carbohydrate diet on weight loss and cardiovascular risk factor in overweight adolescents. The Journal of Pediatrics, 2003.
  3. Aude YW, et al. The national cholesterol education program diet vs a diet lower in carbohydrates and higher in protein and monounsaturated fat.Trusted Source Archives of Internal Medicine, 2004.
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